France
2015 et valeurs républicaines : quelles perspectives ?
L'AFM2R
inaugure, le samedi 6 juin 2015, dès 13h30, à Gonesse (95500), salle Jacques BREL, son cycle (5 Editions) de
Rencontres Culturelles privilégiant la réflexion et l'échange pour une meilleure
connaissance de l'autre, condition sine qua non du partage, de la tolérance, et
de la paix.
Cette
action s'inscrit d'abord dans le cadre de la lutte, en France mais aussi au
Maroc et dans le monde, contre le racisme, l'antisémitisme et l'incitation à la
haine.
C'est
aussi l'occasion de commémorer, certes avec quelques semaines de décalage, la
journée nationale marocaine de la société civile qui a lieu le 13 mars et le
premier anniversaire de l'AFM2R, née le 28 mars.
La rencontre est destinée prioritairement à explorer une mémoire commune entre nos patries des deux rives, le Maroc et la France, mais aussi l'Afrique noire subsaharienne, à la lumière d'une actualité marquée par la manipulation, la peur et la méfiance.
En réalité
le rappel de cette mémoire commune est un repère capital pour le vivre ensemble,
au Maroc, en France, mais aussi dans le monde. Le négliger c’est participer,
consciemment ou non, au risque fatal de la tentation radicale.
La
réflexion abordera le sort partagé hier et aujourd'hui par cette population des
deux rives de la méditerranée et son devenir. Ces peuples ne peuvent continuer
à s’appauvrir en s'ignorant, car dans bien de cas c'est bien d'ignorance qu'il
s'agit.
Contribuer
à l’analyse des mécanismes de ce "choc des ignorances" et de ces
manipulations qui incitent à la haine, à l’extrémisme et aux radicalisations,
est vital. C'est l'objectif par excellence de l'AFM2R.
Dans le
cadre de ce cycle culturel, l’AFM2R met l’accent lors de cette rencontre
inaugurale, sur trois thématiques d’actualité dans l’ordre suivant :
- Le cultuel : histoire des religions ;
- Le culturel : mémoire commune ;
- Le social : insertion par l'économique
- Le
social :
Ilham
MOUSTACHIR, Économiste de formation, professionnelle en Gestion des Entreprises
et en Management a effectué la majeure partie de son parcours professionnel au
sein du Groupe Servair, filiale de la Compagnie aérienne nationale Air France,
et ce depuis 1989. Cadre, elle a occupé des fonctions de contrôleur de gestion,
chef de projet industriel, directeur d’exploitation, déléguée sûreté….
Très
engagée et active dans la vie associative locale depuis 1995, elle a été
présidente d’une fédération de parents d’élèves, responsable d’un comité de
femmes et présidente d’un conseil local de la vie associative qui rassemblait
une centaine d’associations culturelles, sportives et sociales.
Ilham
MOUSTACHIR a été élue au sein du Conseil Municipal de la ville de Gonesse (27
000 habitants) en 2008 et a assuré depuis, avec passion, la fonction de Maire
Adjointe chargée du Développement Economique, de l’Emploi, de la Formation
Professionnelle et du Commerce (Gonesse comptant 400 entreprises et 400 commerces).
Elle a
également été vice-présidente du fonds de dotation ADIFE* Est Val d’Oise (ADIFE
: Fonds de dotation Agir pour le Développement d’Initiatives de Formation et
d’Emploi dans l’Est du Val d’Oise), après avoir été vice-présidente de la
Mission Locale de l’Est du Val d’Oise durant 4 années consécutives.
Outre
les activités préalablement citées, Ilham MOUSTACHIR a initié un partenariat
entre la commune de Gonesse et l'association « nos quartiers ont du talent »
qui a pour but de parrainer des jeunes diplômés exposés au risque de discrimination.
En
janvier 2014, elle a été élue vice-présidente de l’intercommunalité de Val De
France chargée du grand Roissy. Depuis Avril 2014 elle est vice-présidente de
l’intercommunalité de Val De France chargée du développement économique.
Elle est
aussi vice-présidente du SIEVO (Syndicat Intercommunal de Programmation pour le
développement de l’Est du Val d’Oise).
L’Intercommunalité
de Val De France rassemble 6 villes (167000 habitants)
Thème : « Insertion par l’économique »
Axes indicatifs (susceptibles d’être adaptés par la conférencière) :
L'insertion
par l'activité économique (IAE) est un accompagnement dans l'emploi proposé par
certaines structures à certaines personnes très éloignées de l'emploi en raison
de difficultés sociales et professionnelles particulières (âge, état de santé,
précarité…) et de bénéficier d'un accompagnement renforcé afin de faciliter
leur insertion sociale et professionnelle.
Des
structures spécialisées comme les entreprises d’insertion, les entreprises de
travail temporaire d’insertion, les associations intermédiaires et les ateliers
et chantiers d’insertion, ont pour
mission d’aider les personnes à se réinsérer sur le marché du travail
classique, en leur offrant la possibilité de conclure un contrat de travail qui
prévoit, en parallèle, des mesures d’accompagnement spécifiques.
Ces
structures perçoivent, sous condition de la conclusion préalable d’une
convention avec l’État et de l’agrément des salariés qu’elles embauchent,
certaines aides prenant la forme d’exonérations de cotisations sociales, de
prise en charge d’une partie des rémunérations versées aux salariés en
insertion, ou d’aides au poste d’accompagnement.
Ce type
d’insertion est réservé aux personnes particulièrement éloignées de l'emploi
pour favoriser leur insertion dans la vie sociale et professionnelle.
Un
salarié embauché dans le cadre d'une IAE bénéficie, notamment avant de sortir
du dispositif, d'un suivi et d'un accompagnement renforcés (évaluation,
ateliers de recherche d'emploi, bilan de compétences...).
Personnes concernées
L'IAE
s'adresse aux personnes particulièrement éloignées de l'emploi, notamment :
•
chômeurs de longue durée,
•
personnes bénéficiaires des minimas sociaux (RSA...),
Invités : Gonessiennes, Gonessiens, public intéressé, structures
concernées (Mission local, service jeunesse et associations)
------------
- Le
cultuel :
Maître
de conférences à l’Université de
Lorraine et à Sciences-Po-Paris, il est titulaire d’un Doctorat qui reconstruit
la théorie du sens chez Al-Jurjani (rhétoricien d’expression arabe, en 1078).
M.
KHALFALLAH a consacré plusieurs études à l’évolution des notions politiques et
pénales pour mieux comprendre les rapports entre la pensée, la langue et les
sociétés arabes contemporaines.
Cette
riche expérience pédagogique lui permet d’interroger plus efficacement les
méthodes didactiques de l’arabe en Occident.
Thème : « Histoire des religions »
Axes indicatifs (susceptibles d’être adaptés par le conférencier) :
- Inscription de
la religion musulmane dans la continuité de l’Ancien et le Nouveau
Testament ;
- L’Islam :
une religion et une civilisation.
M.
KHALFALLAH développe sa réflexion autour de la perception problématique
actuelle de l’Islam, chez les Musulmans et les Non-Musulmans. Il s’inscrit dans
une perspective pragmatique pour contribuer à la lutte contre la manipulation,
le radicalisme et la violence.
Invités : Gonessiennes, Gonessiens, public intéressé, représentants des
trois religions monothéistes.
-------------------------------
- Le culturel :
Docteur
d’Etat en sciences politiques (Panthéon-Sorbonne), il est l’auteur de trois
ouvrages sur le Maroc et de plusieurs articles sur le champ politique marocain.
Ancien
professeur de sciences politiques à Paris4-Sorbonne et Paris 8, il est
actuellement consultant auprès d’organisations internationales en France, au
Maroc et en Afrique Sub-saharienne.
M. BEN
MLIH est en outre Directeur général de H2B Compétences, société de Conseil et
Formation.
Thème : « Mémoire commune et identités »
Axes (susceptibles d’être adaptés par le conférencier) :
1.
L’histoire commune de la France et le Maroc doit
être un levier pour le développement et la paix. Les leçons du passé, la
reconnaissance de l’autre, sont un précieux héritage pour construire un avenir
meilleur pour les peuples, en particulier ceux des deux rives de la
méditerranée ;
2.
Les identités, comme les cultures, ne sont pas
fixes : elles évoluent au gré de l’histoire du monde.
M. BEN
MLIH aborde une problématique brûlante : dans quelle mesure la mémoire
commune de la France et du Maroc peut-elle contribuer au développement des deux
peuples ? L’identitaire dans sa configuration aigüe actuelle est-il une
mode conjoncturelle, une crise structurelle, ou un paramètre d’une stratégie
cruelle de l’exclusion ? Quel rôle joue, ou doit jouer, la culture et la
politique ?
Le
professeur BEN MLIH explore et analyse des données socio-politiques actuelles
en France et au Maroc pour mettre en perspective le devenir commun des peuples
amis.
Invités : Gonessiennes, Gonessiens, public intéressé, structures
concernées.
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Le regard de l’Ingénu : par M. BOUTEGLIFINE
L’AFM2R
invite une personnalité extérieure à l’Hexagone pour apporter un point de vue
différent et synthétique sur les thèmes abordés dans les Tables rondes, et en
tirer des conclusions.
M.
BOUTEGLIFINE, Docteur en Sciences mathématiques et diplômé en Sciences de
l’éducation, a enseigné les mathématiques du secondaire à l’université. Il est
nommé Inspecteur Pédagogique Principal dans la même matière à l’Académie
d’Agadir jusqu’en octobre 2005 où il est depuis, Consultant en Education,
Formateur en Ingénierie Pédagogique et Directeur général de l’Ecole privée sous
contrat avec l’Etat Marocain ATTARAJI, à Agadir, aux portes du sud du
Maroc.
En 2003,
en collaboration avec le Centre de Recherche sur l’Enseignement des
mathématiques (CREMA) à Nivelles en Belgique, M. BOUTEGLIFINE fonde le Centre
de Recherche sur l’Enseignement des Mathématiques à Agadir (CREMA). Le centre
est rattaché au Ministère de l’Education Nationale, de l’Enseignement
supérieur, de la Formation des Cadres et de la Recherche Scientifique, par le biais
de la Délégation d’Agadir-Idaoutanane. Le CREMA est réputé par son organisation
du Grand Concours International d’Agadir en Mathématiques.
Il est
aussi très actif dans des associations de développement, comme l'Association
« Moustakbal Idaouza » où il était Secrétaire Général jusqu’à
la réalisation d’un important projet de route goudronnée qui a décloisonné la
région d’Idaouzal par la mise en connexion de la ville de Taroudant à
l’autoroute Agadir-Marrakech via l’axe Menizla-Argana.
M.
BOUTEGLIFINE est également fondateur et Président actuel de l’Association de
Recherche sur la Pédagogie et l’Enseignement des Mathématiques (ARPEM) qui
œuvre pour des objectifs communs avec le CREMA. Il participe ainsi à la
diffusion d’une culture mathématique pour tous, et développe des stratégies
pédagogiques qui rendent les mathématiques accessibles. Il conduit des actions
bénévoles pour améliorer la qualité de l’enseignement des mathématiques et
s’intéresse beaucoup à l’actualité et aux événements dans le monde, en
particulier dans le domaine éducatif.
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Le
programme :
Invitations
: 13h30
Début :
14h00
14h00 à
15h00 en plénière :
1. Présentation du cadre, des objectifs, des
intervenants, du déroulé (Tables rondes et présidents) : modérateur, M.
CHAMSDINE, président fondateur de l’AFM2R, ancien professeur Paris II
Assas-Sorbonne, ancien professeur-référent ESSEC, auteur ;
- Présentation des tables rondes par les
présidents-conférenciers :
-
Social (3ème TR : « Insertion par
l'économique », Mme MOUSTACHIR) ;
-
Cultuel (1ère TR : « Histoire des
religions », M. KHALFALLAH) ;
-
Culturel (2ème TR : « Mémoire commune »,
M. BEN MLIH).
15h00-15h30
: échanges avec la salle
15h30-15h45 : temps d'installation autour des Table rondes
15h45 -
17h00 : Tables rondes
17h00-
17h15 : retour en plénière
17h15-
18h00 : synthèse par les présidents/rapporteurs des
tables rondes ;
18h00-
18h20: le regard de l’Ingénu par M.
BOUTEGLIFINE ;
18h20-
19h00 : échange avec la salle.
19h00-
1915 : conclusion par le modérateur, M. CHAMSDINE
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Buffet de l’amitié
19h15 : buffet de l'amitié prélude à une soirée artistique
agrémentée par des expositions et des chants en présence des officiels français
et marocains :
- Samira AHMED GHOUIRGATE, la soprano du Gharnati (musique et chants andalous) :
Née dans la ville côtière de Safi, Samia Ahmed est une marocaine à la carrière très prometteuse, une chanteuse au répertoire multiple et varié. C’est une artiste qui se détache de sa génération par son aptitude à passer avec aisance d’un registre à l’autre, d’un style à l’autre.
En récital, elle excelle dans tous les répertoires et n’hésite pas à mettre son art, son don au service de causes humanitaires.
Samia Ahmed choisit de s'installer à Marrakech, ville qu'elle apprécie énormément. Une fois installée, et tout en parallèle avec sa vie professionnelle, l'artiste va s'intégrer dans la vie culturelle et artistique de la ville ocre.
Elle s'inscrit tout d'abord au conservatoire "Ziryab" de musique pour acquérir les outils et les références nécessaires à une artiste confirmée. Par la suite, elle va constituer, avec des amis dévoués au chant arabo-Andalous, un ensemble baptisé « Jossour ( passerelles)».
"Jossour" réunit des passionnés déterminés à chanter pour le plaisir certes, mais qui ont également comme ultime objectif de ressusciter le chant de qualité, de rendre hommage à une ère glorieuse et si regrettée, celle du patrimoine artistique arabo-andalou.
Elle a par la suite la chance de rencontrer le grand Maitre Saïd Chraïbi qui se laisse à son tour charmer par ses dons talentueux et sa voix autant douce qu'envoûtante ! Ils animent ensemble plusieurs soirées et donnent des concerts qui sont de véritables succès.
Par sa détermination pour réussir, par son travail acharné, son amour et son dévouement pour l'art noble, Samia Ahmed force le respect, l'admiration et la gratitude d'un public de mélomanes de plus en plus large.
Issue d’une famille férue d’art (musique, chant, littérature ... ), ayant baigné, depuis son plus jeune âge dans la musique, le chant, la création picturale..., elle est toujours à la recherche de l’art sous tous ses aspects et à la façon de le transmettre. A l’écoute des autres cultures et des autres, Samia Ahmed n’hésite pas à apprendre, recevoir, donner, échanger afin que l’art, patrimoine de l’humanité, circule et s'enrichisse et enrichit, qu’il soit à la portée de tous.
L'artiste a des singles issus du Patrimoine arabo andalou, repris de façon à rapprocher ce riche héritage de l’oreille des jeunes et à établir des passerelles avec la culture occidentale, comme Ana Qad kana li Khalil (J’avais un bien aimé) et Ya Racha lfattane (cette biche si séduisante) et Mourafrifou Dalali ou Quizas en arabe. D’autres singles permettant de montrer la polyvalence de sa voix sont en cours.
Samia Ahmed prépare enfin son premier album « TAHIYA » avec des chansons composées par le grand maître du Luth Said Chraibi et d’autres chansons issues du patrimoine universel.
- Samira AHMED GHOUIRGATE, la soprano du Gharnati (musique et chants andalous) :
Née dans la ville côtière de Safi, Samia Ahmed est une marocaine à la carrière très prometteuse, une chanteuse au répertoire multiple et varié. C’est une artiste qui se détache de sa génération par son aptitude à passer avec aisance d’un registre à l’autre, d’un style à l’autre.
En récital, elle excelle dans tous les répertoires et n’hésite pas à mettre son art, son don au service de causes humanitaires.
Samia Ahmed choisit de s'installer à Marrakech, ville qu'elle apprécie énormément. Une fois installée, et tout en parallèle avec sa vie professionnelle, l'artiste va s'intégrer dans la vie culturelle et artistique de la ville ocre.
Elle s'inscrit tout d'abord au conservatoire "Ziryab" de musique pour acquérir les outils et les références nécessaires à une artiste confirmée. Par la suite, elle va constituer, avec des amis dévoués au chant arabo-Andalous, un ensemble baptisé « Jossour ( passerelles)».
"Jossour" réunit des passionnés déterminés à chanter pour le plaisir certes, mais qui ont également comme ultime objectif de ressusciter le chant de qualité, de rendre hommage à une ère glorieuse et si regrettée, celle du patrimoine artistique arabo-andalou.
Elle a par la suite la chance de rencontrer le grand Maitre Saïd Chraïbi qui se laisse à son tour charmer par ses dons talentueux et sa voix autant douce qu'envoûtante ! Ils animent ensemble plusieurs soirées et donnent des concerts qui sont de véritables succès.
Par sa détermination pour réussir, par son travail acharné, son amour et son dévouement pour l'art noble, Samia Ahmed force le respect, l'admiration et la gratitude d'un public de mélomanes de plus en plus large.
Issue d’une famille férue d’art (musique, chant, littérature ... ), ayant baigné, depuis son plus jeune âge dans la musique, le chant, la création picturale..., elle est toujours à la recherche de l’art sous tous ses aspects et à la façon de le transmettre. A l’écoute des autres cultures et des autres, Samia Ahmed n’hésite pas à apprendre, recevoir, donner, échanger afin que l’art, patrimoine de l’humanité, circule et s'enrichisse et enrichit, qu’il soit à la portée de tous.
L'artiste a des singles issus du Patrimoine arabo andalou, repris de façon à rapprocher ce riche héritage de l’oreille des jeunes et à établir des passerelles avec la culture occidentale, comme Ana Qad kana li Khalil (J’avais un bien aimé) et Ya Racha lfattane (cette biche si séduisante) et Mourafrifou Dalali ou Quizas en arabe. D’autres singles permettant de montrer la polyvalence de sa voix sont en cours.
Samia Ahmed prépare enfin son premier album « TAHIYA » avec des chansons composées par le grand maître du Luth Said Chraibi et d’autres chansons issues du patrimoine universel.
-
Caftans marocains, par Hind JOUDAR, auteur du livre les
merveilles du caftan et spécialiste de l'histoire de la mode
orientale et particulièrement du caftan. (http://www.orientalfashionshow.com/livre-les-merveilles-du-caftan-par-hind-joudar/) ;
![]() |
Hind JOUDAR |
- Présentation et lecture de poèmes :
* Rime ALSAYED, poète, auteur notamment de Quand il s'est levé dans mes yeux :
![]() |
Rime Al Sayed |
* Olivia ELIAS : poète, auteur de L'espoir pour seule protection, chez Alfabarre :
- Oud (luth oriental), par le professeur Mostapha ELHARFI : ambassadeur de la musique arabo-andalouse, membre actif de l’Institut du Monde Arabe (activités culturelles section musique). En 1996, il a créé la première école de percussion et instruments orientaux à Montpellier.
![]() |
Mostapha ELHARFI |
Il a participé à plusieurs festivals dans la région Languedoc Roussillon.
En 1999, à l’occasion de l’année du Maroc en France, il a participé à une
tournée musicale dans toute la France avec des écrivains marocains francophones
« caravane du livre ». En 2000, il a créé la même école à Mérignac et Bordeaux.
En 2003, il fonde l’association des
Artistes Marocains en France (AMF) afin de faire connaître la musique et le
rythme arabes en général et marocains en particulier.
-
Exposition des tableaux de l'Artiste Plasticien Nadim RACHIQ :
Prédilection pour l'abstraction et la technique mixte.
Formation: Arts Plastiques, Paris1 Panthéon Sorbonne à Paris de 1984 à 1989.
Sociétaire et membre du comité directeur de la Société des Artistes Indépendants (SAI), Paris.
Nadim RACHIQ :
« Dans ma démarche artistique, il s'agit d'intervenir sur le support, de créer à partir de ce dernier des formes en relief. Le relief est la pierre fondatrice de ma recherche plastique, c'est lui qui donne au support une autre fonction et une autre dimension, il le transforme d'un élément passif à un élément actif, il est en action, en mouvement, il crée la forme, le relief, l'événement, l'ombre et la lumière ... une grande partie de mon travail est concentrée sur le support, il est en relief, il est bidimensionnel. C'est un ensemble de formes en bas-relief, des lignes, des courbes en volume les unes différentes des autres, ce qui donne un jeu de formes volumineuses en mouvement. Le mouvement est assez présent. Ainsi, le support devient un champ de jeu d'ombre et de lumière ".
- Première exposition individuelle à Rabat/Maroc, Galerie de La Découverte en 2010.
- Principales expositions individuelles: Rabat/Maroc, La Galerie de la Découverte, 2010
- Madagh/Maroc, Zawya Kadiria Boutchichia, 2013
- Paris/France, Fondation de la Maison du Maroc, 2014
- Foires et salons: Paris, Salon d'Art Contemporain - Art Shopping, Carroussel du Louvre, 2013.
- Boissy Saint Léger, Biennale d'Arts Plastiques. Paris, Salon des Artistes Indépendants, 2012
- Paris, Salon des Artistes Indépendants, 2013
- Boissy Saint Léger, Salon des Arts Plastiques de Boissy Saint Léger, 2014
- Collections: Melun, Cabinet d'Orthophonie Jean Paul Fournier, 1986
- Boca Raton/États-Unis, Collection Colucci, 1986
Page FB de l'Artiste : https://www.facebook.com/nadim.rachiq/about
*****
![]() |
Nadim RACHIQ |
Prédilection pour l'abstraction et la technique mixte.
Formation: Arts Plastiques, Paris1 Panthéon Sorbonne à Paris de 1984 à 1989.
Sociétaire et membre du comité directeur de la Société des Artistes Indépendants (SAI), Paris.
« Dans ma démarche artistique, il s'agit d'intervenir sur le support, de créer à partir de ce dernier des formes en relief. Le relief est la pierre fondatrice de ma recherche plastique, c'est lui qui donne au support une autre fonction et une autre dimension, il le transforme d'un élément passif à un élément actif, il est en action, en mouvement, il crée la forme, le relief, l'événement, l'ombre et la lumière ... une grande partie de mon travail est concentrée sur le support, il est en relief, il est bidimensionnel. C'est un ensemble de formes en bas-relief, des lignes, des courbes en volume les unes différentes des autres, ce qui donne un jeu de formes volumineuses en mouvement. Le mouvement est assez présent. Ainsi, le support devient un champ de jeu d'ombre et de lumière ".
- Première exposition individuelle à Rabat/Maroc, Galerie de La Découverte en 2010.
- Principales expositions individuelles: Rabat/Maroc, La Galerie de la Découverte, 2010
- Madagh/Maroc, Zawya Kadiria Boutchichia, 2013
- Paris/France, Fondation de la Maison du Maroc, 2014
![]() |
Exposition de l'artiste plasticien à la Fondation de la Maison du Maroc |
- Boissy Saint Léger, Biennale d'Arts Plastiques. Paris, Salon des Artistes Indépendants, 2012
![]() |
Jaune sur Orange - technique mixte - 80 x 60 cm. Nadim Rachiq, 2010. |
- Paris, Salon des Artistes Indépendants, 2013
- Boissy Saint Léger, Salon des Arts Plastiques de Boissy Saint Léger, 2014
![]() |
Éléments et ensemble - technique mixte - 180 x 125 cm. Nadim Rachiq, 2014. |
- Collections: Melun, Cabinet d'Orthophonie Jean Paul Fournier, 1986
- Boca Raton/États-Unis, Collection Colucci, 1986
Page FB de l'Artiste : https://www.facebook.com/nadim.rachiq/about
*****
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