•Un point fixe, qui reste là et observe.
En pleine ville, entouré d’âmes en peine.
Des gens aigris, qui s’entassent et s’énervent.
Un quotidien qui les remplit de haine.
•Une foule noire et épaisse, un triste amas funeste.
Un mouvement de foule régulier apeuré.
Un lendemain sombre qui ne laisse jamais de reste.
•Univers de folie et de souffrance,
De cotés obscurs et de décadences.
Étendue de corps vidés de leur sens,
Une foule sans vie qui à jamais avance.
Quentin PAYEUX
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