L’AFM2R, dont la devise est « Culture Réflexion Ouverture », tient à remercier l’artiste plasticien pour cette invitation à un rendez-vous mondial de l’Art et de la Culture au cœur de Paris. Plusieurs nations sont présentes à cette manifestation artistique annuelle de grande envergure. L’AFM2R note, certes, avec plaisir et fierté, mais aussi avec quelque regret, que l’artiste plasticien soit le seul à représenter de façon non officielle son pays d’origine le Maroc, contribuant ainsi à valoriser l’image du Maroc.
Nadim Rachiq présente Art Capital et son oeuvre Chorégraphie à l'AFM2R
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Sa Majesté Mohammed VI à l'Institut du
Monde Arabe le 17/2/2016
pour le lancement du Centre culturel marocain
à Paris
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Dans le même esprit, Sa Majesté Mohammed VI, poursuivant sans relâche ses efforts pour renforcer le rayonnement du Royaume chérifien sur la scène mondiale, vient ainsi d’inaugurer le lancement de la construction du Centre culturel marocains au cœur du quartier latin à Paris. La députée européenne d’origine marocaine, Rachida Dati précise : ''A une époque où l'ignorance et l'obscurantisme prennent le pas sur la lumière de la culture, de la civilisation, des traditions, de la connaissance et du progrès, la culture et la connaissance sont les meilleurs remparts contre la régression et le repli''.
M. le Consul général de Paris, Ouafi BOUKILI, ainsi que d’autres personnes de la Diaspora marocaine parisienne, ont également assisté au vernissage de cette 10ème Edition de Art Capital.
Il faut enfin retenir que Nadim Rachiq est le premier et le seul artiste plasticien d’origine marocaine qui siège, depuis janvier 2015, au Comité Directeur de la Société Des Artistes indépendants. La SDAI est créée depuis 1884 par « un petit groupe d'artistes novateurs dont les noms sont aujourd'hui célèbres: Paul Cézane, Paul Gauguin, Henri de Toulouse Lautrec, Camille Pissaro, Albert Duboit-Pillet, Odile Redon, Georges Seurat et Paul Signac » précise notamment l’artiste plasticien.
Dans le sillage de Wassily Kandinsky et Paul Klee, Nadim Rachiq fait sienne la comparaison entre l’Art et la Musique, concluant ainsi son article sur l’Art paru dans Pluton magazine :
« La musique a le pouvoir de sonoriser l’œuvre abstraite et cette dernière a le pouvoir de visualiser la musique : d’où la nécessité de regarder l’œuvre abstraite de la même façon qu’on écoute la musique. La musique classique est une peinture qu’on regarde avec l’oreille et la peinture abstraite est une musique qu’on écoute avec les yeux. Il est donc très important de considérer l’œuvre abstraite comme une symphonie visuelle et comprendre qu’elle s’est créée par le biais de l’artiste pour exister en tant que telle, non pour porter en elle un message ou une signification car ce n’est pas là sa fonction. Elle est née de l’âme de l’artiste pour parler à celui qui la regarde dans un langage qui ne peut être compris que par son âme… »
Lien vers la totalité de l’article :
Abdellatif Chamsdine
Paris, 21 février 2016
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